Voici une chanson faite par « fatal bazooka ». (Âmes sensibles s’abstenir, c’est une chanson très vulgaire)
Ce qui m’a attiré dans cette chanson – qui est vraiment très vulgaire- c’est que au delà des plaisanteries trash homme/ femme et les querelles machos/féministes du premier degré, se cache un vrai dilemme : est ce que la langue nourrit l’oppression sociale ou est ce que l’oppression sociale nourrit la langue ? Est ce que le fait de trouver autant de synonymes au mot « pute » n’est qu’un simple hasard ? Ou est ce que c’est normal que la femme soit associée à la geisha (pour être fin) ?
Pourquoi une femme peut être qualifiée de « mère », « d’épouse » ou de « pute » sans que l’un de ces masques interfère sur l’autre (une femme qu’on qualifie de « mère » ne peut pas être qualifiée en même temps de « pute ») alors qu’un homme est toujours qualifié « d’homme » ?
5 commentaires:
euh c quoi tt cet philo?
ben une pute est une pute = 90% des femmes, les 10% restant, rien n'est sure mais on va dire que c nos mere, soeur, ... et toutes femmes respectable.
mais bon y en a des putes qui finissent par fonder une famille, sinon d'ou ca vient les nouveau arrivage sur le marché, c un peu myso comme facon de pensee certe mais pas moins vrai en tt cas.
@ eagleeyez : toute femme - parce que humaine- est respectable !
un peu dans le même régistre tu peux essayer la chanson de bénabar "je refais ma vie"... génial ! (le mot bourreau n'a pas de feminin...)
@tonton : je vais la telecharger tout de suite ! ;)
Autre chose monsieur le gouverneur, une femme c'est une pute(chez ce groupe de je ne sais pas quoi) et un homme c'est quoi, gigolo??
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